Résumé du livre « La Vénus d’Ille » de Prosper Mérimée

La Vénus d’Ille est une nouvelle de l’écrivain français Prosper Mérimée. Elle a été écrite en 1835 et publiée en 1837. Elle raconte l’histoire d’une statue de Vénus qui prend vie et tue le fils de son propriétaire, qu’elle croit être son mari.

Le narrateur, archéologue , visite la ville d’ Ille, dans la région du Languedoc -Roussillon . Un de ses amis le recommande à M. de Peyrehorade, qui connaît les ruines romaines de la région. À son arrivée, il découvre que le fils de M. de Peyrehorade, Alphonse, doit épouser une certaine Mademoiselle de Puygarrig, et le narrateur est invité à la noce.

Pendant ce temps, M. de Peyrehorade montre au narrateur sa nouvelle découverte : une statue en bronze de la Vénus Pudique . Le narrateur juge la statue très ancienne et déchiffre l’inscription. Les deux hommes s’émerveillent de son regard farouche ; elle est aussi effrayante que belle.

Avant le mariage, le marié décide de jouer à Paume et glisse l’alliance destinée à sa fiancée sur un doigt de la statue. Il gagne la partie, mais son adversaire jure de se venger. Il laisse accidentellement l’anneau à la statue et, lorsqu’il revient plus tard pour le récupérer, il découvre que la statue a refermé ses doigts autour de l’anneau. Le narrateur ne croit pas à l’histoire d’Alphonse, car celui-ci a beaucoup bu pendant la réception, et il va se coucher.

Pendant la nuit, le narrateur entend des pas lourds monter l’escalier, mais il suppose qu’il s’agit d’Alphonse ivre qui va se coucher. Le matin, après le chant du coq, il entend les mêmes pas qui descendent l’escalier. Soudain, il y a des cris et de l’agitation. Le narrateur court dans le couloir et trouve une foule de gens qui entourent Alphonse mort, qui semble être mort dans une étreinte ardente.

Au début, il soupçonne qu’il s’agit de la faction rivale du jeu de Paume, mais plus tard, il entend l’histoire de la femme d’Alphonse, que d’autres prétendent devenue folle. Elle dit que la statue est entrée dans la pièce, a embrassé son mari et a passé toute la nuit avec lui dans ses bras. Au matin, la statue l’a laissé là et est retournée sur son piédestal.

Le narrateur quitte la ville pour revenir à Paris . Il apprend plus tard que M. de Peyrehorade est mort et que sa femme a fait fondre la statue et en a fait une cloche pour l’église locale. Le narrateur remarque que depuis que la cloche a été installée, les récoltes ont été détruites à deux reprises par le gel.

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