L’expression de la discrimination dans le village de la honte (exposé)
Cet article intitulé « l’expression de la discrimination dans le village de la honte » vous présente un exposé tiré du livre « Le village de la honte » du professeur Soro Guéfala. Il nous a été envoyé par un des visiteurs de ce site. Zakweli ne peut donc pas être tenu responsable quant à la qualité de l’exposé.
Exposants:
- Soro Noulourou Berthe
- Kone Aicha
- Kra Adjo Moae
- Ouattara Maruis
- Youan Nan
- Keita Nassou
- Soro Nougninri
- Kouadio Amoin
- Konan Affoue
- Zerbo Siaka
- Diallo Seydou
Nom du professeur :
M. Israel
Introduction
Soro guefala est né à komborodougou dans le département de Korhogo (cote d’ivoire) en 1956. Professeur certifié de lettres modernes, il est actuellement en fonction à la direction de la pédagogique et de la formation continue, SORO Guefala est, par ailleurs, auteur de trois textes inédits : «la terre promise » et «le cri du caméléon» (théâtre), «le sang de l’amour» (nouvelles).
Soro Guefala bâtit une œuvre de plusieurs romans dont la majorité est inspirée des défis devant être relevé au sein de la société Africaine. Dès lors quel est l’expression de la discrimination dans le village de la honte ?
Nous essayerons de vous faire part au travers de ce roman de certaines traditions qui sont le socle de certaines sociétés africaines pourtant quelque fois source de discrimination et ségrégation sociale. Le village de la honte est ce que l’on pourrait appeler un roman de mœurs sociales.
I. Définition de l’exclusion sociale
Pour définir l’exclusion, il faut partir de son contraire, c’est-à-dire du concept de lien social qui
lie les individus d’un même village ou d’une ville, d’une région ou encore d’une nation.
1. Les différentes discriminations
Ces individus sont d’une grande diversité, ils ont des habitudes de vie et des sensibilités différentes, ils ont parfais des intérêts contradictoires, ils vivent généralement selon la grande loi du chacun pour soi, certains sont violents et querelleurs, d’autres n’ont qu’une considération limitée pour la recherche du bien commun et pour le respect de la loi etc…
2. La femme assujettie
« Le village de la honte » peint la femme sans défense, innocente à la merci de la société. Elle est assujettie et chosifiée. Son coté secret lui est arraché, elle est humiliée devant ses semblables. Ce déshonneur et cette injustice sont remarqués dans l’œuvre romanesque de SORO GUEFALA. La femme, la source de vie, est devenue une source d’humiliation pour la société.
3. Les martyrs de Gonpanledouo sans droit
Dans le village de Gonpanledouo, la femme n’avait pas droit à la parole. Elle devait se soumettre aux
exigences de l’homme. Privée de liberté, la femme de ce village n’avaient pas le choix, même pour son mariage si jamais son premier époux venait a mourir (référence page 65-66). Ainsi la femme était
victime d’exclusion.
II. La pensée de la situation
1. Présentation de l’œuvre
Le village de la honte », conte de 138 pages publié à Sud Edition en 2013, est l’ouvrage du professeur certifié des lettres modernes, Soro Guéfala. Kodongo, surnommé l’enfant-adulte à cause de sa curiosité et de son raisonnement. Il est fils du chef de Kodara. Kodongo, décide d’aller sur la lune
pour voir comment le monde se porte (p14). Le prince de Kodara eu cette idée d’aller voir la lune après avoir entendu un adage qui dit que ‘’le chat a attrapé la lune’’, juste pour décrire un éclipse solaire. En dépit des conseils de sa mère et son père, le roi Peladio afin qu’il abandonne cette idée, le jeune Kodongo était décidé à effectuer ce périple. Kodongo, était âgé de cinq ans. Son âge ne sera
pas un obstacle dans cette quête du savoir poussé par la curiosité. Sous l’œil de ses parents, le jeune Kodongo entame son voyage en vue de retrouver la lune.
2. Vue générale du thème
A. vue du thème
Tant de thème fabuleux traités sous divers épisodes, font de ce conte un chef-d’œuvre. Pour agrémenter son récit de ficelle littéraire, l’auteur utilise un style courant le village de la honte qui permet à tous lecteurs de comprendre ce conte. L’égalité du genre, la solidarité, la réconciliation… son des réalités d’actualité. Et l’auteur dans une architecture littéraire a su en parlé par son ouvrage.
B. Le thème selon l’œuvre
A travers « le village de la honte » la femme est victime de rejet. En clair, la société profane et discrédite la femme. Cette injustice est une évidence dans l’œuvre soumis à notre étude. L’exclusion de la femme est mise en relief dans tous ses paramètres et la femme souffre tant de cette marginalisation.
Conclusion
Au terme de notre analyse, il convient de retenir que l’auteur nous fait un bref résumé des tares de la société Africaine. Ainsi à travers le conte que l’auteur fait nous voyons ressortir tous les problèmes qui subsistent dans nos sociétés. Il est fils du chef de Kodara. Kodongo, décide d’aller sur la lune pour voir comment le monde se porte (p14).