Journée internationale des gens de mer
En 2010, l’Organisation maritime internationale (OMI) a décidé de désigner le 25 juin Journée internationale des gens de mer comme moyen de reconnaître que presque tout ce que nous utilisons dans notre vie quotidienne a été directement ou indirectement affecté par le transport maritime.
L’objectif de cette journée est de remercier les marins pour leur contribution à l’économie mondiale et à la société civile, et pour les risques et les coûts personnels qu’ils supportent pendant leur travail.
Contexte
Selon les estimations de l’OMI, les navires transportent près de 90% du commerce mondial des biens. Les gens de mer ne sont pas seulement responsables de l’exploitation de ces navires, mais ils sont également responsables de la livraison sûre et sans heurts de la cargaison.
Cette journée reconnaît non seulement le travail inestimable des marins, mais vise également à attirer l’attention du monde entier sur les problèmes qui affectent leur travail et leur vie, tels que le piratage. Il appelle les gouvernements à élaborer des politiques qui conduisent à un traitement équitable des gens de mer dans les ports, et demande aux compagnies et aux propriétaires de navires privés de fournir à leurs employés les installations et le confort appropriés pendant qu’ils sont en mer.
Depuis 2011, l’OMI a organisé la célébration de la Journée des gens de mer en ligne, appelant le public à utiliser les médias sociaux tels que Facebook et Twitter, à exprimer son soutien aux gens de mer et à les remercier pour leur travail.
L’Organisation des Nations Unies a maintenant inclus la Journée des gens de mer dans sa liste des observances.
Monsieur le Secrétaire Général de L’OMI c’est avec beaucoup de remords et consternation que nous vous apportons ces remarques et observations pertinente réalisé dans le Monde Maritime:
les formateurs des formateurs des différents spécialités, pour faciliter les recyclages vue la norme, l’éthique, la déontologie et philosophie de l’industrie Maritime ne sont pas valorisés et utiliser chez eux; hors L’OMI a toujours du pain sur la planche à trouver des fonds pour organiser ces: séminaire de formation, conférence, atelier, symposium etc… que peut faire l’OMI? pour inverser cette tendance qui perdure. Je m’appelle YOUNG Patrice
– Formateur des formateurs en PDP – OIT – TURIN 2001
– Inspecteur certifié en unité de Transports conteneurs et code ISPS – UNDP – OMI 2004 GHANA
– Inspecteur de facilitation de trafiques Maritime – CNCC – OMI Limbe 2008
– Officier de bien être des Gens de Mer – ICSW foyer du Marin Douala 2003-2012.
Mais hélas, au Cameroun, on préfère aller toujours chercher ailleurs au détriment des experts Nationaux qui sont là en vaine, hors c’est nos états qui ont sollicité l’appuis de l’OMI.
Merci de collaboration.
Bonjour monsieur Patrice!
J’aimerais avoir une communication avec vous.
Je suis à la direction générale de la marine marchande congolaise, à Pointe-Noire.